La Grèce ne pourra pas rembourser le FMI en juin
Le pays doit s'acquitter de quatre versements pour
un montant de 1,6 milliard d'euros. Le ministre de l'Intérieur, Nikos
Voutsis, a affirmé que le pays ne disposait pas de cette somme.
La Grèce n'effectuera pas les
remboursements au Fonds monétaire international prévu le mois prochain parce
qu'elle n'a pas l'argent, a annoncé dimanche le ministre de l'Intérieur. «Les
quatre versements au FMI en juin représentent 1,6 milliard d'euros. Cet argent
ne sera pas donné et il n'y en a pas à donner», a déclaré Nikos Voutsis à la chaîne de télévision
grecque Mega. Privée d'accès aux marchés obligataires, alors que les aides
liées au plan de sauvetages sont bloquées, Athènes est pratiquement à court
de fonds pour honorer sa dette et payer les salaires et les pensions de ses
fonctionnaires.
De son côté, le ministre des
Finances Yanis Varoufakis a affirmé ce dimanche lors
d'une émission à la BBC, que la Grèce a fait «un pas énorme» dans la
négociation d'un accord avec ses créanciers internationaux pour éviter la
faillite. «C'est maintenant aux institutions de faire leur part. Nous les
avons rejointes aux trois quarts du chemin, elles doivent nous rejoindre sur
un quart du chemin», a-t-il déclaré. Yanis Varoufakis a estimé qu'il serait
«catastrophique» pour la Grèce de quitter l'euro. Ce serait, a-t-il affirmé,
«le début de la fin du projet d'une devise commune».
Selon une enquête réalisée par
l'institut Public Issue pour le quotidien progouvernemental Avgi et publiée
également ce dimanche, la majorité des Grecs soutient le gouvernement du
parti Syriza dans les négociations avec les créanciers du pays tout en
souhaitant un accord qui permette le maintien dans la zone euro. L'enquête
montre que 54% des personnes interrogées approuvent la manière dont le
gouvernement du parti de gauche radicale Syriza mène les négociations, en
dépit des tensions avec les créanciers internationaux auxquels Athènes ne
devrait pas céder, selon 59% des sondés.
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La Grecia non potrà rimborsare l’FMI a
giugno
Il
paese deve pagare pagare quattro tasse per un totale di 1,6 miliardi di euro.
Il ministro dell’interno, Nikos Voutsis, ha affermato che il paese non
dispone di tale somma.
La
Grecia non effettuerà i rimborsi al Fondo monetario internazionale previsti
per il mese prossimo perché non possiede il denaro, ha annunciato domenica il
ministro dell’interno. «I quattro versamenti al FMI a giugno rappresentano
1,6 miliardi di euro. Questi soldi non saranno dati anche perché non sono
materialmente presenti», ha dichiarato Nikos Voutsis al canale della
televisione greca Mega. Privata dell’accesso ai mercati obbligazionari, visto
che gli aiuti legati al piano di salvataggio sono bloccati, Atene è
praticamente a corto di fondi per onorare il suo detto e pagare i salari e le
pensioni dei suoi funzionari.
Da
parte sua, il ministro delle Finanze Yanis Varoufakis ha affermato questa
domenica durante una trasmissione a la BBC, che la Grecia ha fatto «passi da gigante» nella negoziazione di un accordo
con i suoi creditori internazionali per evitare il fallimento. «Adesso sta
alle istituzioni fare la loro parte. Noi le abbiamo incontrare a metà strada,
loro ci devono raggiungere all’altra metà», ha dichiarato. Yanis Varoufakis
ritiene che sarebbe «catastrofico» per la Grecia lasciare l’euro. Sarebbe, ha
detto, «l’inizio della fine del progetto di una moneta unica».
Secondo un’inchiesta realizzata dall’istituto
Public Issue per il quotidiano filogovernativo Avgi e pubblicato anche questa
domenica, la maggior parte dei greci sostengono il governo del partito Syriza
nelle trattative con i creditori del paese pur desiderando un accordo che
permette il mantenimento nella zona euro.
L’inchiesta
mostra che il 54% delle persone interrogate approva il modo in cui il governo
del partito di sinistra radicale Syriza svolge
le negoziazioni, a dispetto delle tensioni con i creditori internazionali ai
quali Atene non dovrebbe cedere, secondo il 59% degli intervistati
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domenica 24 maggio 2015
La Grèce ne pourra pas rembourser le FMI en juin traduzione
venerdì 22 maggio 2015
L'Irlande pourrait adopter le mariage homosexuel par référendum traduzione
L'Irlande pourrait adopter
le mariage homosexuel par référendum
Le pays, qui compte 90% de catholiques, deviendrait
ainsi le premier État à ouvrir le mariage aux couples de même sexe par le
suffrage universel. Une perspective contre laquelle l'Église irlandaise se
mobilise.
Dix ans auparavant,
l'initiative aurait semblé improbable à beaucoup d'Irlandais. Les citoyens de
ce pays fortement imprégnés de culture catholique vont pourtant se rendre aux
urnes, vendredi, afin de choisir s'ils souhaitent que le mariage entre
personnes de même sexe soit rendu légal. Si le «oui» l'emporte, comme le
laissent supposer les sondages, l'Irlande deviendrait le tout premier pays à
adopter le mariage gay par voie référendaire.
Pourquoi ce référendum?
Ce référendum a été annoncé par
le gouvernement irlandais en novembre 2013. La décision de son organisation a
fait suite à un «mémo» présenté par la Convention sur
la Constitution, avait expliqué le ministre de la Justice. Cette
convention, qui rassemble une centaine de représentants de la société
irlandaise et des parlementaires, a été créée en 2012 pour formuler des
modifications à envisager afin de moderniser la Constitution.
Vendredi, les Irlandais doivent
se prononcer sur la phrase: «Le mariage peut être
légalement contracté par deux personnes sans distinction selon leur sexe.» Les votants pourront se
rendre aux urnes de 7 heures à 22 heures (8 heures à 23 heures à Paris). Le
décompte des bulletins débutera le lendemain à 9 heures et les résultats
seront annoncés dans la journée de samedi depuis le château de Dublin. En
parallèle de ce vote sur le mariage homosexuel, les Irlandais seront invités,
le même jour, à se prononcer sur l'abaissement de l'âge pour être candidat au
poste de président de 35 à 21 ans.
De nombreux soutiens pour le
«oui»
À l'image du premier ministre
Enda Kenny et de son gouvernement de coalition associant son parti, le Fine Gael (centre-droit) au parti
travailliste (gauche), les principaux partis politiques irlandais
soutiennent le «oui». Certaines personnalités se sont néanmoins
démarquées de la ligne officielle de leur formation politique. C'est le cas
du député John McGuinness et de certains de ses collègues, qui se sont
déclarés en faveur du «non» tandis que leur parti, le Fianna Fail (lui aussi de
centre-droit, anciennement au pouvoir), soutient le «oui».
Le camp du «oui» a également
bénéficié de la mobilisation de stars irlandaises et internationales, parmi
lesquelles le chanteur de U2, Bono, l'acteur Colin Farrell, le joueur de rugby irlandais Peter O'Mahony, ou même l'interprète de
«Monsieur Sulu» dans Star Trek, George Takei.
La remontée du «non»
Dès l'annonce du référendum, l'Église catholique a fait savoir qu'elle
ferait campagne pour le «non». Un positionnement à ne pas négliger dans ce
pays qui compte entre 85 et 90% de
catholiques. Lors des derniers défilés, on a ainsi pu voir des
évêques lire publiquement des lettres exposant les
arguments du «non». Ce camp a notamment ciblé les possibles conséquences en
ce qui concerne la filiation ainsi que la procréation médicalement assistée
(PMA) et la gestation par autrui (GPA).
Du côté des intentions de vote,
l'écart s'est resserré depuis décembre. D'après le baromètre publié par l'Irish Times, cependant, le camp du «oui» n'est jamais
passé en-dessous des 70%. Mercredi, à la veille de l'arrêt de la propagande
électorale, le gouvernement se montrait extrêmement confiant, les
projections de vote lui permettant d'espérer un «oui» atteignant jusqu'à 60%
des suffrages. Certains ministres n'ont toutefois pas caché leur inquiétude,
jeudi, en constatant que le «non» remontait. D'autant que les indécis
pourraient eux aussi influencer l'écart.
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L’Irlanda potrebbe approvare il matrimonio omosessuale grazie ad un
referendum
Il paese, che conta il 90% di cattolici, diverrebbe
così il primo stato ad aprire il matrimonio alle coppie dello stesso sesso
con il suffragio universale. Una prospettiva contro la quale la chiesa
irlandese si mobilita.
Dieci anni fa, l’iniziativa sarebbe parsa improbabile a
molti irlandesi. Gli abitanti di questo paese fortemente impregnato di cultura
cattolica andranno tuttavia alle urne, venerdì con lo scopo di scegliere se
vogliono che il matrimonio tra persone dello stesso sesso sia reso legale. Se
il «si» avrà la meglio, come lasciano
supporre i sondaggi, l’Irlanda diverrebbe il primo paese in assoluto ad
adottare il matrimonio gay per via referendaria.
Perchè adottare
questo referendum ?
Questo referendum è stato annunciato dal governo irlandese nel novembre
2013. La decisione della sua organizzazione ha fatto seguito ad una «annotazione»
presentata per la Convenzione sulla costituzione , ha spiegato
il ministro della giustizia. Questa convenzione, che unisce una centinaia di
rappresentanti della società irlandese e dei parlamentari, è stata creata nel 2012 per formulare delle
modifiche da prendere in considerare ai fini di modernizzare la costituzione.
Venerdì gli irlandesi devono pronunciarsi sulla frase «Il matrimonio può essere legalmente contratto da due
persone senza distinzione di sesso.» I votanti potranno recarsi alle urne dalle 7 alle
22 (dalle 8 alle 23 a Parigi). Il conteggio dei voti inizierà il giorno dopo,
nella giornata di sabato dal castello di Dublino. In parallelo a questo voto
sul matrimonio omosessuale, gli irlandesi saranno invitati, lo stesso giorno,
a pronunciarsi su l’abbassamento dell’età per essere candidato a presidente
dai 35 ai 21 anni.
Molti si schierano per il «sì»
Così come il primo ministro Enda Kenny e il suo governo di coalizzazione associato
al suo partito, il Fine Gael (centro-destra) con il partito laburista
(sinistra), i principali partiti
politici irlandesi sostengono il «sì». Alcuni personaggi si sono tuttavia discostati
dalla linea ufficiale della loro formazione politica. E’ questo il caso del
deputato John McGuinness e di alcuni suoi colleghi, che si sono dichiarati a
favore del «no» mentre il loro partito, il Fianna Fail
(anche questo di centro-destra, precedentemente al potere), sostiene il «sì».
La fazione del «sì» ha inoltre
beneficiato della mobilitazione delle star irlandesi e internazionali, tra i
quali il cantante degli U2, Bono, l’attore Colin Farrell, il giocatore di rugby l’irlandese
Peter O'Mahony, e anche l’interprete del «Signor
Sulu» in Star Trek, George Takei.
La rimonta del «no»
Dopo l’annuncio del referendum, la chiesa cattolica ha fatto sapere che
farà campagna per il «no». Una posizione da non sottovalutare in questo paese che conta tra l’85 e il 90% di cattolici. Durante
i loro ultimi cortei, si è potuto vedere alcuni vescovi leggere pubblicamente delle lettere che
esponevano le ragioni in favore del «no». Questa fazione ha chiaramente
preso di mira le possibili conseguenze per quanto riguarda la filiazione così
come la procreazione medicalmente assistita (PMA) e la surrogazione di
maternità.
Nell’ambito delle intenzioni di voto, lo
scarto si è rafforzato dopo dicembre. Secondo il barometro pubblicato dall’Irish Times, comunque, la fazione del «sì» non è mai scesa al
disotto del 70%. Mercoledì, il giorno precedente all’arresto della
propaganda elettorale, il governo si mostra estremamente fiducioso, le
proiezioni di voto gli permettono di sperare in un «sì» puntando fino al 60%
dei votatati. Alcuni ministri non hanno tuttavia nascosto la loro
preoccupazione, giovedì, nel constatare che il «no» rimonta. Tanto che gli
indecisi potrebbero anche essi influenzare lo scarto.
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giovedì 21 maggio 2015
Les djihadistes de l'État islamique ont pénétré dans la cité antique de Palmyre traduzione
Le groupe terroriste
s'est emparé, mercredi soir, de la ville située au centre de la Syrie, l'un
des derniers verrous avant Damas. L'Unesco a appelé à une cessation immédiate
des hostilités pour sauver «l'un des sites les plus significatifs du
Moyen-Orient et la population civile qui s'y trouve».
Les combattants de l'État
islamique ont pris, mercredi soir, la ville de Palmyre et sont entrés, jeudi
matin, dans sa cité antique. On ignore encore si des destructions ont été
perpétrées sur le site , classé au patrimoine mondiale de l'Unesco. «Il faut
que l'on protège Palmyre. C'est extraordinaire parce qu'il y a des ruines
monumentales. C'était un des foyers culturels les plus importants du monde
antique … Palmyre est aujourd'hui au carrefour de plusieurs civilisations.
Palmyre c'est le dialogue des cultures, il faut la protéger», redit mercredi
matin la directrice générale de l'Unesco.
La veille, Irina Bokova
avait déjà appelé à une cessation immédiate des hostilités pour sauver «l'un
des sites les plus significatifs du Moyen-Orient». Elle avait exhorté «la
communauté internationale à faire tout ce qui est en son pouvoir pour
protéger la population civile et sauvegarder le patrimoine culturel unique de
Palmyre». Et de conclure: «Il est impératif que toutes les parties en présence
respectent les obligations internationales pour protéger le patrimoine
culturel pendant le conflit en évitant de le prendre pour cible directe ou de
l'utiliser à des fins militaires.»
Des statues mises à
l'abris, mais inquiétude sur le musée
Les djihadistes contrôlent
la totalité de Palmyre après s'être notamment emparé de la base aérienne, des
bâtiments des services de renseignement et de la prison de la ville. Les
forces du régime se sont retirées massivement de tous les secteurs de la
ville après avoir évacué les civils et se replient vers Damas. L'avancée des
djihadistes a été permise par la prise en fin de matinée de mercredi du
bâtiment de sécurité d'État de la ville et d'un barrage situé près d'un
bâtiment administratif abritant les registres civils des habitants.
Maamoun Abdoulkarim, chef
du service des Antiquités syriennes, a précisé que des centaines de statues
avaient déjà été mises à l'abri. «Nos craintes concernent désormais le musée
et les grands monuments qui ne peuvent être déplacés», précise-t-il.
Une ville stratégique
pour Daech
L'offensive du groupe
djihadiste sunnite, débutée le 13 mai dernier, revêt une importance
stratégique de premier plan explique au Figaro Fabrice
Balanche, maître de conférences à l'Université Lyon 2 et spécialiste du
Moyen-Orient: «En tenant Palmyre, Daech étend son influence d'une part et
d'autre de la frontière irako-syrienne et ouvre une nouvelle voie de communication vers
Ramadi». Selon le
géographe, «Palmyre est un derniers verrous avant Damas», objectif du groupe
terroriste.
Mais il se trouve que la
ville abrite également un joyau de l'Antiquité, classé au patrimoine mondial
de l'UNESCO. Un trésor archéologique désormais menacé par le groupe
terroriste, désireux d'éliminer des vestiges culturels «considérés comme
barbares car précédant la période islamique» explique Fabrice Balanche . «Une
magnifique allée de colonne et un temple de Bel seront probablement détruits»
regrette le spécialiste.
En s'emparant de la ville
et de la vaste région désertique qui l'entoure, l'organisation djihadiste
peut revendiquer le contrôle d'environ la moitié de la Syrie. La plupart de
ces territoires sont cependant quasiment inhabités, la population se
concentrant à Damas et le long de la frontière libanaise et de la côte
méditerranéenne, dans une «Syrie utile» dont l'armée syrienne a fait sa
priorité.
Avec Reuters
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Gli jihadisti dello stato islamico sono penetrati nell’antica citta
di Palmira
Il gruppo terroristico se n’è
impadronito mercoledì sera, la città è
al centro della Siria, ed è uno degli ultimi ostacoli prima di Damasco.
L’unesco ha chiesto l’arresto immediato delle ostilità per salvare «uno sei siti più significativi del
Medio-Oriente e i civili che si trovano lì».
I combattenti dello stato
islamico hanno preso, mercoledì sera, la citta di Palmira e sono entrati,
giovedì mattina, nella sua antica città. Si ignorano ancora se delle
distruzioni sono state compiute sul sito, appartenente al patrimonio mondiale
dell’Unesco. «Bisogna proteggere Palmira. E’ straordinaria perché possiede
delle rovine monumentali. C’è stato uno dei focolai culturali tra più
importanti del mondo antico…Palmira è oggi il punto d’incontro di svariate civiltà.
Palmira è dialogo di culture, bisogna
proteggerla », ha ripetuto mercoledì mattina la direttrice generale
dell’Unesco.
Il giorno precedente, Irina Bokova aveva già chiesto di fermare
immediatamente le ostilità per salvare «uno dei siti più significativi del
Medio Oriente». Aveva esortato «la comunità internazionale a fare tutto quello
che è in suo potere per proteggere la popolazione civile e salvaguardare il
patrimonio culturale unico di Palmira». E per concludere «E’ imperativo che
tutte le parti presenti rispettino gli obblighi internazionali per proteggere
il patrimonio culturale durante il conflitto evitando di usarlo come
bersaglio diretto o di utilizzarlo a scopi militari.»
Alcune statue messe al riparo,
ma c’è inquietudine per il museo
Gli Jihadisti controllano la totalità di Palmira dopo essersi in
particolare impossessati della base aerea, degli edifici, dei servizi di
informazione e della prigione della città. Le forze del regime si sono
ritirate in massa da tutti i settori della città dopo aver messo in salvo i
civili e si sono ritirati verso Damasco. L’avanzata degli Jihadisti è stata
permessa per la decisione nella mattinata di mercoledì dell’edificio di
sicurezza dello stato della città e di un blocco vicino a un edificio
amministrativo contenente registri civili degli abitanti.
Maamoun Abdoulkarim, capo del servizio delle antichità siriane, ha
precisato che alcune centinaia di statue sono già state messe al riparo. «I
nostri timori sono rivolti ormai al museo e ai grandi monumenti che non
possono essere spostati» ha precisato.
Una città strategica per Daech
L’offensiva del gruppo jihadista sunnita, iniziata il 13 maggio
scorso, riveste un’importanza strategica di primo piano spiega al Figaro Fabrice Balanche, docente
all’università di Lione 2 e specialista del Medio Oriente: «Considerando
Palmira, Daech estende la sua influenza da una parte e dall’altra della
frontiera iraco-siriana e apre una nuova via di comunicazione verso Ramadi».
Secondo lo geografo «Palmira è uno tra gli ultimi ostacoli prima di Damasco»,
obbiettivo del gruppo terroristico.
Ma si da il caso che la città riparata ospita ugualmente un gioiello
dell’antichità, appartenente al patrimonio mondiale dell’UNESCO. Un tesoro
archeologico d’ora in poi minacciato dal gruppo terrorista, desideroso di
eliminare delle tracce culturali «considerate come barbare perché antecedenti
al periodo islamico» spiega Fabrice Balanche . «Un magnifico viale di colonna
e un tempio di Bel verrano quasi certamente distrutti» si rammarica lo
specialista.
Impossessandosi della città e della vasta regione desertica che la
circonda, l’organizzazione jihadista può rivendicare il controllo di circa la
metà della Siria. La maggior parte di questi territori sono tuttavia quasi
inabitati, la popolazione si concentra a Damasco e lungo la frontiera
libanese e della costa mediterranea, dentro una «Siria utile» nella quale l’esercito
siriano ne ha fatto la sua priorità.
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